• A quelques semaines (à moins de deux mois, pour être plus précis) de la tenue de l’édition 2019 du festival KAAFALA, la 5ème édition, l’équipe en place, à travers l’une de ses Responsables en Communication, Urielle Corine Ahouandé, après une dizaine de fois sur les réseaux sociaux depuis janvier 2019, revient une fois encore sur quelques noms qui auront marqué positivement l’édition.

    « On ne vous dira jamais assez merci », a laissé entendre cette jeune battante, du monde de la presse, en s’adressant à :

    Ceux, dont les noms suivent, qui ont soutenu financièrement et matériellement l’édition 2018 :

    Dr. Bio Yerima Zacharie, Pharmacie Togoudo (Carrefour IITA) ; Chef Wahabou Moussa ; M. Mouhédine Alassane ; Dr. Tchala Kessilé Sare ; M. Ayéna Yacouba ; M. Mathurin Tomtokoum, Maire de Ouaké ; Prof. Soumanou Toléba ; Colonel Karimou Séibou ; Mme. Baba Moussa Soumanou Mariama ; M. Germain Abdoulaye Tchalla ; M. Issifou Moustapha, CSAF Mairie de Ouaké ; M. Faustin Yantikoua, de la SBEE Ouaké ; M. Célestin Simchalum ; M. Gado Yao ; M. Safiou Akabossi ; M. Issa Binda ; Dah Hermas Gbaguidi ; M. Ibrahima Amidou ; Sa Majesté Loukpawoulaou ; M. Sosohou Abdoulaye ; Chef Abdoudramane Boukari ; Sa Majesté Gnangnan Emile ; M. Jean Malakoué ; M. Aziz Yacoubou ; M. Aboubacar Malakoué ; M. Késsilé Salifou ; M. Bagnan Ati ; M. Nassirou Tchao ; M. Patrice Malakoué ; M. Mamoudou Sindjaloum ; M. Yacoubou Zakari, Imam de Badjoudé ; M. Hadiou Tchan ; Mme. Aminatou A. Alidou ; M. Issaka Adam Salifou.

    Tous les soutiens techniques de cette même édition ; personnes physiques et morales … 

    Mairie de Ouaké et tout le conseil communal – Arrondissement de Ouaké – Comité de gestion de la Maison des Jeunes et de Loisirs de Ouaké - Radio Ouaké – SOSSATOM SERVICES Actions et Providence - Compagnie Arts Tréma – Capsiafrica - Forces de l'ordre et de sécurité de Ouaké – Ortb – M. Donklam Abalo - M. Gilles Odilon Yacoubou – M. Daouda Lao Yérima – M. Ulysse Elliot Vihou Djodji – M. Kombert Quenum –  M. Soumanou Fawi - Atlantic Fm - Soleil Fm - Club rfi de Ouaké - Association Actions Plurielles - Festival des Arts, Cultures et Tourisme de Toffo (Facto) – Groupe Assassa d’Awanla - Organe Consultatif de la Jeunesse de Ouaké (Ocj-Ouaké) -  Zion Production –  Scouts de Ouaké - Auberge ASSAR de Ouaké. 

    Tous les formateurs et conférenciers de l’édition … 

    Eux, ils ont abandonné amis et famille, en cette période de fête de fin d'année et de nouvel an, pour soutenir, à leur manière, l’initiative ; en donnant de leur savoir et savoir-faire.

    Eux, c’est :

    Conférencier : M. Germain Tchalla - Conférencier, consultant artistique et technique, formateur : Dah Hermas Gbaguidi – Animatrice de causerie : Mme Rosine Hounkptin – Animateur de causerie et formateur : Roger Malakoué (Sossatom) - Formateurs : M. Narcisse Amouzou de Lomé/Togo ; Mlle. Adline Elvire Agassounon ; M. Kouèssi Michael Agbénomba ;  M. Grégoire Azouma ; M. Euloge Kouagou (Le géant mondial) ; M. Dossou Victor Goudahouandji (Tonton Victor) ; La délégation de l’Université de Kara : Alou-Ignim Mewezinoh, Yassimine Samari, Mondom Pawou Meba ; Les Supers Acrobates de Parakou : Samuel Iroko, Salami Boni, Saliou Sambo, Hermann Toumoudagou. 


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  • « Autour d’un pot » : la parole autour du slam, du conte et de l’humour

    Dadobo Kréativ initie « Autour d’un pot ». Le souffle zéro de ce nouvel espace culturel était donné le vendredi 05 juin dernier au Jardin Botanique et Zoologique Pr. Emerile Edouard Adjanohoun de l’Université d’Abomey-Calavi – UAC –.

    Le nouveau concept artistique « Autour d’un pot » de l’association culturelle Dadobo Kréativ a connu son premier élan, le souffle zéro, ce vendredi 05 juin 2015 à l’UAC avec une partie consacrée au slam. En dehors de cet art, l’initiative donnera la parole aux conteurs et humoristes de manière rotative dans les numéros à venir.

    Cinq rubriques pour une partie dans l’espace vert du jardin botanique et zoologique de l’UAC. C’est ainsi que se présente ce nouveau cadre de partage interactif de la parole que propose Mickael Todégo et les siens du Dadobo Kréativ. Tour à tour, « Autour du pot » se décline devant le spectateur en des séquences dynamiques : « Levée du rideau », « Revue de troupe », « A la une », « Point vers/coin vert », « La voix au vers ».

    Dans sa configuration, le concept est un rendez-vous de libération de la parole dans ses natures les plus diversifiées. Pour Mickael Todégo, l’initiative est une offre qui met les « arts de la scène dans une version plus intimiste, plus rapprochée du public ». Ainsi, en plein cœur de cet espace vert de l’université, dans un souci de retour à la nature dans un monde de la technologie envahissante, les organisateurs convient de jeunes spectateurs en priorité autour d’une boisson pendant qu’ils vont à la rencontre des trois formes artistiques retenues. En clair, ils voyagent à travers les mots tissés des slameurs, la dérision des faits de société et politiques à travers l’humour, les sagesses et enseignements des contes.

    En face, à travers une rubrique telle que « La voix au vers », le public est aussi appelé à dire sa parole, ses « mots face aux maux de la communauté » comme le laissent entendre les initiateurs. Au-delà, ce cadre est le lieu d’une certaine éthique qui éduque à la phytothérapie « parce qu’il y aura une plante, un arbre à découvrir à chaque numéro » explique Mickael Todégo. « Une plante parce que nous souffrons de maux et ce n’est pas seulement la parole qui guérit, les vertus médicinales de la flore ne sont pas à négliger », insiste-t-il. Pour ce premier rendez-vous du 05 juin, était à l’honneur pour ce vœu le Dialium Guineensé, le tamarinier noir donnant le fruit appelé « Asonsuwen » en fon au Bénin.

    Sur un air de blues fait sur clavier et saxophone, d’autres artistes passeront à l’image de leurs pairs du souffle zéro tel que Hagbè Gopal Das. Mensuel pour ses débuts, « Autour d’un pot » passera à sa maturité à un événement bimensuel, a précisé le principal organisateur.


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  • BENIN AFRICA Développement ONG

     

    INSTITUT DE LA PENSEEE POSITIVE, DE L’INFORMATION POUR LE SUCCES  (IPPI-Bénin)

     

     

     

    RECRUTEMENT

     

    Afin de permettre aux étudiants des Facultés Classiques des Universités du Bénin d’acquérir de l’expérience professionnelle à la fin de leur formation, l’IPPI-Bénin lance le Projet ‘’PRIORITE EMPLOI JEUNE’’. Ce Projet leur offre des possibilités de faire des stages professionnels dans des entrprises et ONG Nationales ou Internationales partenaires.

     

     

     

    Pour postuler, envoyez simplement ‘’PEJ avec vos Nom, Prénoms, Filière et année’’ au tél. 67 09 59 61

     


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  • Dotation de l’exécutif au monde artistique : Quelle gestion des 3 milliards culturels ?

    Les artistes béninois ont décroché le gros lot, à l’occasion de la célébration de l’an 3 de Yayi II, le 6 avril dernier. Ils ont jubilé, parce que le milliard culturel a été triplé par le Chef de l’Etat. Beaucoup d’émotions et de remerciements, en attendant sans doute les marches et/ou les messes d’action de grâce des artistes. L’heure est à l’euphorie, même si tous n’ont pas accès à la table très convoitée des privilégiés du monde culturel au Bénin. Et c’est à ce niveau, que reviendra sur tapis, l’éternelle problématique de la gestion du milliard culturel. A priori, on pourrait à juste titre croire que les acteurs du monde culturel vivraient désormais mieux de leur art, puisqu’il faut des moyens pour organiser un secteur, et cette fois-ci, le gouvernement a fait un pas de géant : d’1 milliard, le budget alloué au développement du monde artistique passera à 3 milliards. L’ambition est noble, parce qu’il est un secret de polichinelle que la culture constitue le socle du développement de toute Nation. Cependant, il faut avoir la tête sur les épaules. Les virus de la corruption, du détournement ravagent depuis quelques années le monde artistique. Des remous ont souvent entouré la gestion du milliard culturel. A-t-on jamais fait le bilan ? Peut-on toucher du doigt l’impact ? Une chose paraît évidente. Rien n’a véritablement changé au plan artistique. Les infrastructures adéquates font toujours défaut dans le domaine artistique, les écrivains béninois peinent encore à produire leurs ouvrages dans leur pays, les centres de lecture sont rarissimes, la production des sonorités musicales reste une bataille. Et nombre d’artistes dénoncent la procédure d’octroi de subvention au Fonds d’aide à la culture, sans oublier que les écrivains, les plasticiens, les cinéastes, se sentent plus marginalisés par rapport à sa répartition. Le chantier est vaste, mais ‘’petit à petit l’oiseau fait son nid’’. Il faudrait d’ores et déjà penser à une gestion équitable du milliard culturel.

    10-04-2014, Arnaud DOUMANHOUN

     

    http://www.journauxdubenin.com/article/dotation-de-l-executif-au-monde-artistique-quelle-gestion-des-3-milliards-culturels


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  • Festivités culturelles annuelles de Kétou (FCAK) 2014

    Les manifestations sous le signe de l’unité

     

    Comme chaque année depuis quatre ans, les filles et fils de Kétou ont célébré les Festivités culturelles annuelles de leur localité pour magnifier, pour le compte de la 4ème édition cette année, la richesse de leur patrimoine culturel, culinaire, touristique et historique. Les manifestations ayant démarré depuis jeudi 29 mai et pris fin dimanche 1er juin, ont été officiellement lancées, samedi 31 mai dernier, par Jean-Michel Abimbola, ministre de la Culture, et fils du terroir. C’était à la place du Centenaire et sous le signe de l’unité..



    Par Alain ALLABI



    Kétou vibre sous le rythme deses Festivités culturelles annuelles. Les filles et fils Nago, Mahi et Holli de cette commune, vêtus du pagne choisi pour l’édition 2014 ont pris d’assaut la place du Centenaire afin de célébrer leurs valeurs culturelles communes, expression de leur appartenance à une même communauté.
    Avant de rallier la place du Centenaire, la population a déjà effectué, tôt le matin, la marche « Iranti » à destination de Okpomèta, un lieu réputé pour être cet endroit où le tout premier roi de Kétou étancha sa soif. Après cette randonnée pour revisiter l’histoire, la population a rejoint quelques heures plus tard, la place retenue pour les réjouissances populaires des festivités qui ont commencé par la mise en terre d’un plant d’iroko par Sa Majesté le roi Aladé Ifè de Kétou, suivie de ses bénédictions.

    Caractère rassembleur de la fête

    Dès lors, plusieurs personnalités se sont succédé au pupitre pour mettre l’accent sur le caractère rassembleur et unificateur de la culture. Tour à tour, Ramanou Yessoufou, président de l’Union des associations de développement de Kétou (UADK), Maurice Dieudonné Adjahi, président du Comité d’organisation, ont vanté la richesse du patrimoine culturel de leur cité. Selon M. Adjahi, les festivités visent à permettre aux populations de valoriser leur culture et de développer le tourisme avec ses retombées socio-économiques. Quant aux ambitions des festivités, il précisera qu’elles sont relatives, entre autres, au recensement et à la valorisation des sites touristiques de la commune, à l’aménagement des voies d’accès auxdits sites, à la promotion des rythmes et danses, à la valorisation de l’art culinaire kétois, à la réalisation d’infrastructures.
    Au nom du maire, c’est son 2ème adjoint, Dominique Oyékan, qui interviendra. A son avis, l’ethnie qui néglige sa culture est morte. Abondant dans le sens des ambitions, il a dévoilé quelques projets du Conseil communal en faveur de la culture. Entre autres, il a indiqué que le conseil a prévu dans son budget 2014, la construction d’un centre d’exposition des objets d’art sur la place du centenaire, la construction d’un plateau d’animation toujours sur la place du Centenaire.
    Sans la culture, pas de développement, fera observer Badarou Osséni, préfet de l’Ouémé-Plateau qui comparera le peuple de Kétou à un arbre dont la culture constitue les racines.

    Eviter à tout prix la politisation

    Les festivités le convainquent de l’importance de la culture comme vecteur de développement et surtout d’unité. Et cette harmonie qui sonne la grande mobilisation n’est pas restée sans le séduire. C’est pourquoi il a souhaité que ce festival dure dans le temps. A cet effet, il a mis les populations de Kétou en garde contre la politisation de cette noble initiative. «La culture rassemble tout le monde parce qu’elle n’a pas de couleur politique», a souligné le préfet.
    La même observation sera faite par le ministre Jean-Michel Abimbola qui a estimé que la présente édition revêt un cachet particulier. Cette particularité réside dans la forte mobilisation qu’il a beaucoup saluée. Mais cela ne doit pas étonner quand on sait que Kétou est une cité où cohabitent en parfaite harmonie depuis des lustres plusieurs groupes socio-culturels dont les Nago, les Mahi et les Holli. « Kétou est une entité pluriethnique avec des spécificités ethniques qui coexistent et s’enrichissent mutuellement», a relevé Jean-Michel Abimbola. Pour lui, ce festival lui donne la preuve que la culture a la faculté de rapprocher mais que hélas parfois la politique divise. Profitant de l’occasion, il a évoqué d’anciens et nouveaux chantiers du ministère tels que la clôture du palais royal de Kétou, la prochaine construction de la maison des arts et de la culture de Kétou, la clôture de la future maison du guèlèdè dont la commune est le berceau, la construction des kiosques pour les artisans de Kétou, la réhabilitation du Akaba Idéna pour que le processus de son inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO soit amorcé, etc.

    Manifestations populaires

    Après la série des allocutions, le roi et le ministre accompagnés des personnalités politiques de la localité ont visité les divers stands installés pour exposer les produits du patrimoine culturel et autres de Kétou. Ce qui a laissé place aux réjouissances populaires faites d’animation et de dégustation des mets locaux. Dans la soirée, plusieurs activités récréatives ont tenu en haleine les populations telles que les contes et la prestation de l’artiste Willi Mignon et des artistes locaux.
    Le dimanche 1er juin dernier les manifestations se sont poursuivies avec la mise en terre de plants pour coller à l’actualité de la Journée nationale de l’arbre sous la supervision du maire Salami Osséni. Cela a été suivi de la pose de la première pierre de la construction de 10 aires de séchage du lafou(cossette de manioc) au profit des femmes de Bolorunfè. Enfin, la finale du tournoi de football dénommé coupe FCAK 2014 opposant l’équipe de l’arrondissement de Kétou à celle d’Adakplamè a mis un terme aux FCAK 2014. Au coup de sifflet final, c’est l’arrondissement de Kétou qui a pris le meilleur sur Adakplamè sur un score de 4 buts à 1, remportant ainsi la coupe.

     

    http://lanationbenin.bj/publication.php?pub=6&lign=1081


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